Malick Gackou a demandé, mardi, le rétablissement des enseignants grévistes dans leurs droits. Le Coordonnateur qui s’en prend au régime de Macky Sall estime que la situation que vivent les enseignants des classes passerelles en grève n’est que le résultat de sa politique caractérisé par le désespoir.
Il est le premier responsable politique à aller rendre visite les enseignants grévistes au siège du Frapp. Malick Gackou qui déplore les conditions de vie de ces dernier. Ils se sont réjouis dès l’entame. Ces grévistes de la faim dont le nombre augmente de jour en jour. Pour le président du Grand Parti, leur situation ne reflète que les conséquences de la politique désespérante du régime en place. “Je n’ai pas besoin de le dire. Nous le savons tous. Le gouvernement du président Macky Sall a un marque de fabrique : c’est le désespoir. Ce gouvernement ne s’est produire que du désespoir. Au lieu de générer des sources de l’espoir qui devraient permettent à la jeunesse sénégalaise d’être davantage plus engagé, plus mobiliser pour se défendre et se battre pour son pays, ce gouvernement dont le conséquences de ses politiques publiques ont entraîné le Sénégal dans un mal vivre considérable, ne ménage aucun effort pour créer les conditions de désespoir de la jeunesse“, a déclaré sur Rfm Malick Gackou.
Combat
Le responsable en tête du Grand Parti qui a été aussi accueilli par des membres de Frapp exige le rétablissement de ces enseignants dans leurs droits et compte mener le combat avec eux jusqu’à la victoire finale. “Nous sommes dans un monde complètement alambiqué mais qui montre en conséquence, combien ce gouvernement est irresponsable. C’est la raison pour laquelle nous sommes là pour vous tendre la main et qu’ensemble, avec vous, nous allons nous battre jusqu’à la victoire. La victoire, c’est la victoire de la justice contre l’injustice“, a-t-il ajouté.
Enseignants des classes passerelles
On les appelle des enseignants des enseignants des classes passerelles. C’est depuis 2016,au nombre de 210 qu’ils ont été envoyé dans les classes mais sans aucun statut. Pour le moment, ils sont 15 à observer la grève. Parmi eux des femmes enceintes et des femmes qui allaitante.