1 – Extrait du dimanche
« Le plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute. »
Nelson Mandela
2 – Mot du Dimanche
Moratoire
Un moratoire est la suspension d’une action
- Exemples : Le groupe des sept pays les plus industrialisés accepte un moratoire sur le remboursement de la dette des pays victimes du tsunami en Asie.
Les intérêts moratoires désignent une somme d’argent destinée à réparer le préjudice causé par un retard de paiement.
- Exemple : L’administration peut être tenue de verser des intérêts moratoires à un contribuable qui a fait une réclamation s’il obtient un remboursement d’impôt prononcé par une juridiction ou l’Administration.
3 – Lecture du dimanche
DISSERTATION DE CULTURE GENERALE PAR Issa Laye Diaw
SUJET. Un père présente à son enfant le jour de son anniversaire deux cadeaux devant lesquels celui-ci ne doit choisir qu’un : un livre de lecture ou un téléphone portable ; l’enfant choisit le téléphone. Qu’en pensez-vous ?
Depuis l’invention de l’imprimerie attribuée à Jean Gutenberg, les connaissances sont à la portée de tous ceux qui savent lire. Depuis lors également, les hommes n’ont jamais cessé de moderniser d’autres moyens de communication en inventant des outils technologiques de plus en plus perfectionnés tels que le téléphone. Malheureusement, le livre est en train d’être concurrencé par l’écran. On comprend donc pourquoi quand un père présente à son enfant le jour de son anniversaire deux cadeaux : un livre de lecture ou un téléphone portable, l’enfant choisit le téléphone. En d’autres termes, ce dernier a jeté son dévolu sur l’outil moderne au détriment de l’outil antique bien qu’encore d’usage. Quel est alors le bon choix à faire entre livre et téléphone ? C’est pour répondre à cette question que nous expliquerons d’abord cette ruée vers le téléphone. Puis nous justifierons l’importance du livre. Enfin, nous nous attacherons à démontrer comment cette rencontre entre écran et papier peut être bienheureuse.
Parmi les raisons qui poussent à comprendre le dévolu jeté sur le téléphone plutôt que le livre, il en existe deux plus principalement. La première trouve sa justification dans le rôle étymologique du terme qu’il joue : télé (à distance) et phone (son). En effet, cet ingénieux outil permet de se parler à distance et instantanément sans même se voir. La deuxième raison, c’est que cet outil est beaucoup plus ludique et celui à qui on a présenté les deux cadeaux dont il ne faut choisir qu’un n’est encore qu’un enfant, c’est-à-dire un jeune esprit qui adore l’amusement. La troisième raison est tout aussi non négligeable ; en effet, cette trouvaille multifonctionnelle connectée à Internet fournit des informations ou connaissances qu’on ne recevait que des livres, de la radio, de la télé… A titre illustratif, en temps réel comme à un temps révolu, tout y passe et s’y passe, des catastrophes sanitaires dans le passé aux évènements plus récents à l’image des obsèques et même la rétrospection biographique de la reine Elisabeth 2 nonagénaire à qui toute l’Angleterre rendait un ultime hommage, ou encore le départ des militaires français du Mali après la présence mitigée et tres controversée de l’opération Barkhane. On comprend donc les raisons pour lesquelles cet enfant a préféré le téléphone au livre : c’est parce que le premier (même pour les non-voyants et les malentendants) permet à la fois de correspondre, de se divertir et de s’informer avec apparemment beaucoup plus d’aisance que le second qui est malh de plus en plus relégué de nos jours au second plan.
Donc cet aspect plus moderne que renferme le téléphone représenterait la raison pour laquelle la plupart des jeunes se ruent vers l’écran plutôt que le papier. Néanmoins, cette raison est-elle suffisante pour rompre le lien qui continuera toujours de nous unir au livre ?
À cette question, nous osons répondre par la négative pour deux raisons. Premièrement, la patience et l’attention que nous impose le livre permet goutte à goutte de ne rien perdre de ce pourquoi on s’y échine. En voyage, ce que la marche est au livre est à peu près ce que l’automobile est à l’écran. Tout passe et à peine nous nous attardons sur le détail ô combien d’un décor, d’un brin de causette avec les personnages, d’une senteur d’arbres aux effluves que seule l’attention permet de percevoir. Trop animées, les images qui défilent à l’écran passent alors que les mots d’un livre s’incrustent littéralement et naturellement à notre conscience qu’il enrichit à chaque page tournée. Deuxièmement, ces mots dont nous parlons permettent d’une part de découvrir et de s’approprier le sens et l’usage des mots écrits d’une langue. D’autre part, ils sont si magiques qu’ils nous font voyager sans l’obligation physique de nous déplacer ; cette rencontre avec l’altérité géographique et culturelle, nous en avons la preuve par exemple dans Le Tour du monde en 80 jours ; la magie du style de Jules Verne donne au lecteur, ne serait-ce que par l’imagination, l’impression d’entreprendre à côté de Phileas Fogg et Passepartout le périple, toutes les difficultés à surmonter avec tous les états d’âme que le trajet implique. Apparemment, cet enfant qui choisit le téléphone à la place du livre ne sait pas encore que ce dernier en fait autant que le premier : le divertissement, la découverte et la connaissance.
Pourtant, en lieu et place d’une concurrence entre le papier et l’écran qui, apparemment et à quelques différences près, font la même chose, ne devrait-on pas les faire se rencontrer afin qu’une collusion (et non une collision) ne soit qu’heureuse au plus grand bonheur des utilisateurs des temps modernes ?
En effet, l’une des raisons de prendre cette posture réconciliatrice est une imminence ; le monde d’aujourd’hui est devenu « numérique ». En d’autres termes, ces connaissances qui n’étaient lisibles que dans des livres sont converties à foison en version moins encombrante et possibles d’être visionnées (vidéo) ou visualisées (audio et écrits) grâce à ces supports modernes d’écran tactile tels que le téléphone. Si on parle aujourd’hui d’audiothèque, de vidéothèque, c’est parce que celles-ci jouent le même rôle que les bibliothèques d’hier dont les livres sont exposés le plus souvent à l’usure du temps. L’autre raison pour laquelle on devrait cesser d’opposer livre et téléphone nous est fournie par des écrivains. Parmi eux, certains ont su tirer un bénéfice incommensurable de cette heureuse rencontre entre écran et écrit en s’adonnant à une adaptation cinématographique de leurs œuvres d’art. Par exemple, Ousmane Sembène doit une grande raison de sa popularité grâce à beaucoup de ses nouvelles et romans tels que Xala, La Noire de…, Le Mandat, Les Bouts-de-bois de Dieu,… adaptées à l’écran, même si ici le projet artistique est différent de celui pour lequel, au XXème siècle, ont été projetées des œuvres de Balzac, Hugo, Zola, etc. En somme, force est de constater que la numérisation et la cinématographie confortent l’avis selon lequel écran et écrit ont le besoin impérieux de s’allier jusqu’à ne plus former qu’un.
En définitive, comprendre le choix de cet enfant porté sur l’usage du téléphone plutôt que celui du livre, c’est accepter l’avis selon lequel le premier est plus ludique et mieux disposé à l’information et la communication. Néanmoins, ce n’est pas une raison pour dénigrer le livre car si ce dernier est encore d’usage depuis sa découverte datant des siècles passés, c’est parce qu’il est un tabernacle inépuisable de découvertes de mots nouveaux et d’espaces lointains. Par conséquent, le mieux à faire est moins d’opposer l’écrit à l’écran que de chercher à les réunir pour un accès encore plus aisé aux connaissances dont l’humanité dépend pour conserver et redynamiser son passé : le numérique et la cinématographie forcent à adopter une telle posture. Justement, n’est-il pas de même entre littérature et science ? Faudrait-il les opposer ou chercher à voir quel apport offrent l’une et l’autre quand ces deux sœurs s’unissent ?
4 – Profil du dimanche
Cheikh Ahmadou Bamba
Ahmadou Bamba (son nom wolof est Mor Bamba né à Mbacké-Baol au nord-est du Sénégal, ville fondée par son arrière-grand-père Maharame Mbacké dans le royaume de Baol. Il fut plus connu sous l’appellation de cheikh Ahmadou Bamba du nom de son homonyme cheikh Ahmadou Sall qui était un saint qui résidait dans la localité de Bamba(Saloum). Son père, Momar Anta Saly Mbacké, était un savant et un Cadi respecté par les rois de son époque. Sa mère Mame Diarra Bousso, plus connue sous le nom de Diarratou Allah (la protégée d’Allah) était une sainte reconnue tant par les Sénégalais que les Mauritaniens.
À l’âge de 7 ans, il fut confié à son oncle Thierno Mboussobé par son père afin d’apprendre le Coran. Ce dernier le confiera à Serigne Tafsir Mbacké Ndoumbé, l’oncle de sa mère, afin de compléter ses études coraniques. Lorsque Tafsir Mbacké mourut, Cheikh Ahmadou Bamba retourna à l’école de son père qu’il ne quitta plus. Du vivant de son père, il versifia les écrits sur le Tawhid notamment Oum al barahim de cheikh Abdallah Sanoussi qu’il intitula Mawahib al Qoddous. Cet ouvrage de 600 vers pousse son père Momar Anta Saly à l’introduire dans le programme de son école. Le Cheikh écrira d’autres livres parmi lesquels Tazawudou Cikhar (Le viatique des jeunes) et Jawharou Nafis (Le joyau précieux) qui est un commentaire en vers de l’imam Abd al-Rahman Al-Akhdari. Dans le soufisme, Cheikh Ahmadou Bamba versifia Bidayat al Hidaya petit traité de l’Imam Ghazâli qu’il intitula Moulayyinou Soudour. Il composa également des odes et des panégyriques exclusivement dédiés à Allah et au prophète Mahomet. Son père quitta Patar pour aller fonder un autre village appelé Mbacké Cayor où il mourut trois ans plus tard en 1881.
Ahmadou Bamba resta à Mbacké Cayor pendant 2 ans dans le dessein d’aider les disciples de son père à approfondir leurs connaissances. Il affirma que le prophète Mahomet lui est apparu et lui a demandé de ne plus éduquer ses disciples par l’étude mais par la ferveur spirituelle (Tarbiya). Il rassembla l’ensemble de ces étudiants qui étaient dans la daara (école coranique) de son père et leur dit : « si vous voulez seulement étudier, vous pouvez aller trouver les nombreux maitres de ce pays. Que ceux qui veulent être éduqué pour atteindre la proximité divine restent à mes cotés ». Après ces propos il les laissa prendre leur décision, à la fin il ne resta que quelques personnes dans sa daara qui était l’une des plus grandes du pays.
C’est la naissance de la mouridiyyah (la voie qui mène vers Allah). Il fonde Touba (Sénégal) en 1888, un lieu isolé situé à l’intérieur de la forêt de Mbaffar où il resta pendant 7 ans.
Début des épreuves
En 1889, après avoir constaté que trop de personnes lui vouaient un serment d’allégeance, le gouverneur français Clément Thomas donna l’ordre à cheikh Ahmadou Bamba de renvoyer ses disciples chez eux, mais ses directives demeurèrent sans effet. Une persécution générale s’ensuivit et les mourides furent dépossédés de leurs biens, si bien qu’un exode vers Touba fut organisé.
Après plusieurs tentatives infructueuses pour inviter le cheikh à se présenter à Saint-Louis, les convocations devinrent menaçantes mais ne donnèrent aucune suite. Ahmadou Bamba quitta Touba, pour s’installer à Mbacké Bari dans le Djolof à 50 km au nord de Touba en avril 1895. Il décide le 10 août 1895 d’aller répondre à la convocation du gouverneur en quittant Mbacké Bari et rencontre sur le chemin l’armée coloniale à Djéwol. Il est arrêté et amené à Coki puis à Louga afin de prendre le train en direction de Saint-Louis. À Saint-Louis il est placé au siège du gouverneur de l’Afrique-Occidentale française (AOF). Le jeudi 5 septembre 1895, le conseil privé dirigé par le gouverneur général Louis Mouttet convoqua une assemblée à l’issue de laquelle la décision d’envoyer Cheikh Ahmadou Bamba vers le Gabon fut adoptée. Son frère Mame Thierno Birahim Mbacké supplée à son absence auprès de sa famille et de la communauté mouride. L’administration coloniale justifie alors sa décision en affirmant : « Il ressort clairement du rapport que l’on n’a pu relever contre Ahmadou Bamba aucun fait de prédication de guerre sainte, mais son attitude, ses agissements, et surtout ceux de ses principaux élèves sont en tous points suspects. »
Il fut embarqué le 21 septembre 1895 dans un paquebot brésilien, le Pernambuc, à destination du Gabon où il passa 7 années dont 5 ans à Mayumba et 2 ans à Lambaréné. À Mayumba, il fut pratiquement livré à la nature dans des endroits inhabités, sans abri, ni nourriture, à la merci des bêtes sauvages, des intempéries des saisons de la région. L’objectif visé par l’autorité coloniale était sa suppression pure et simple.
Retour d’exil
Le 11 novembre 1902, le navire Ville de Maceio où avait embarqué cheikh Ahmadou Bamba, arriva à Dakar au bout de 15 jours de navigation. Il fut accueilli par ses disciples et acclamé par la foule, alors que beaucoup pensaient qu’il était décédé. Il décida d’aller rendre visite à certains de ses disciples. Il fonda avec eux le village de Darou Marnane. Sa principale préoccupation dans cette zone était l’éducation spirituelle de ses talibés. À Darou Marnane beaucoup de gens vinrent lui rendre visite, de tous les coins du pays. Ces mouvements de foule inquiétèrent à nouveau l’administration coloniale qui décida de l’arrêter, et de l’exiler en Mauritanie auprès d’un érudit maure, cheikh Sidia Baba. En 1904 à Sarsara, cheikh Ahmadou Bamba affirma avoir vu le prophète en veille et que ce dernier lui aurait remis son propre wird nommé “Al Wird’ul Maahuuzu”. Cheikh Ahmadou Bamba resta en Mauritanie jusqu’au 26 avril 1907 soit 4 ans et reçut de l’administration coloniale l’autorisation de revenir au Sénégal. Dès son retour il fut assigné en résidence surveillée à Thiéyène. Dans cet endroit Ahmadou Bamba et son entourage sont discrètement surveillés et les visites de ses disciples limitées.
Après avoir obtenu l’autorisation de retourner au Baol par une lettre que le gouverneur général du Sénégal Henri François Charles Cor avait adressée au gouverneur de l’AOF William Merlaud-Ponty, cheikh Ahmadou Bamba quitte Thiéyène le 12 janvier 1912 pour arriver à Diourbel le 16 janvier 1912. Il s’installa en février 1913 sur un site choisi par lui-même qu’il nommera la maison bénite (buuq’at al-mubâraka), ou en wolof Keur gou Mak. Les autorités françaises réalisent que cheikh Ahmadou Bamba ne désire pas la guerre. Dès lors, puisque la doctrine de cheikh Ahmadou Bamba les sert, elles décident de collaborer avec lui. Pour sa contribution à la Première Guerre mondiale Ahmadou Bamba est honoré par le gouverneur, qui lui décerne en janvier 1919, le diplôme et la croix de chevalier de la légion d’honneur. Le marabout accepta le diplôme, mais refusa de porter la Croix de la légion d’honneur dans la mesure où ses principes religieux s’y opposaient. En 1921, le cheikh organisa publiquement pour la première fois l’anniversaire de son départ en exil. Il recommanda ensuite aux mourides de rendre grâce à Dieu chaque année à cette date par l’adoration de Dieu, la lecture du Coran et la distribution des repas.
Cheikh Ahmadou Bamba meurt le mardi 19 juillet 1927 à Diourbel. Son corps fut transporté par voiture le lendemain à Touba et fut inhumé dans sa maison, rattachée aujourd’hui à la grande mosquée de Touba. Il fut remplacé officiellement par son fils aîné cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké à la tête de la confrérie mouride. Son tombeau est un lieu de pèlerinage.
5 – Annonce du dimanche
Concours CREM
Le Ministère de l’Education nationale porte à la connaissance du public l’ouverture du concours de recrutement d’élèves – maîtres (CREM), session de 202
Le dépôt des dossiers de candidature s’effectue du lundi 19 décembre 2022 à 8 heures au vendredi 20 janvier 2023 à 17 heure
Le CREM est ouvert aux Sénégalais titulaires du Baccalauréat ou de tout autre diplôme admis en équivalence, âgés de 18 ans au moins et de 30 ans au plus, au 31 décembre 202
Les mille cinq cents (1 500) postes en compétition sont répartis ainsi qu’il suit
1 200 option Français
250 option Arabe
- 50 option Daara
Le dossier de candidature est ainsi composé
- une demande manuscrite adressée au Ministre de l’Education nationale
un extrait de naissance datant de moins de six (06) mois ou une photocopie légalisée de la carte nationale d’identité du candidat en cours de validité
une photocopie légalisée du certificat de nationalité sénégalais
une photocopie légalisée du Baccalauréat ou de l’attestation en cours de validité ou une attestation spéciale du Baccalauréat; les bacheliers de la session de juillet 2022 peuvent déposer une photocopie légalisée de leur relevé de notes ou de leur attestation de réussite ou de leur diplôme
un certificat médical d’aptitude à l’Enseignement délivré par un médecin du Centre médico-social des Fonctionnaires ou un médecin exerçant dans une structure publique de sant
un extrait du casier judiciaire n° 3 datant de moins de trois (03) mois
- un certificat de bonne vie et mœurs datant de moins de trois (03) moi
une quittance de paiement des droits d’inscription dont le montant est fixé à dix mille francs CFA (10 000 F CFA)
L’inscription en ligne, la numérisation et le téléchargement des pièces constitutives du dossier sur le site internet du CREM crem.education.sn sont obligatoires pour tous les candidats
6 – La petite parenthèse du dimanche
😂😂😂😂😂😂😂😂😂
un taximan dépose sa femme le matin devant le marché pour faire les courses et va au travail .
Le monsieur prend son premier client pour une destination. Arrivé à un carrefour, il s’arrête au stop . Tout d’un coup , il voit sa femme entrer dans un hôtel non loin avec quelqu’un d’autre, bras dessus bras dessous.
Il n’en croit pas ses yeux mais ne peut se tromper, c’est bel et bien sa femme.
Il dit à son client, tu veux avoir 50 mil FCFA tout de suite là.
Le client lui dit quel est le deal.
Il lui tend une photo et dit : c’est ma femme légitime devant Dieu et les hommes.C’est elle qui rentre dans l’hôtel là, ramène la moi comme tu veux et je te donne les 50mil.
Le client très sûr de lui rentre à toute vitesse dans l’hôtel et ressort 5 min après avec une autre femme qu’il trainait par les cheveux.
Le taximan lui dit : je t’ai pourtant donné sa photo , comment tu as fait pour te tromper.
Le client répond : attrape moi celle la d’abord, elle c’est ma femme , je vais chercher pour toi maintenant.😂😂😂😂😂😂😂
Passez un très bon week-end avec le café qui apporte du savoir.