C’est le rêve des diplômés et celui de leurs parents. C’est la raison d’être des gouvernements et un des leviers pour garantir la stabilité, la réduction des violences et celle des incertitudes.
Quelle politique pour l’emploi ?
Faut-il mettre la priorité sur la multiplication les formations, celle des financements ou celle des opportunités ?
Pour un(e) jeune qui aspire à l’emploi, comment doit-il(elle) s’y prendre si toutes les portes lui semblent fermées ?
Pour la première série de questions, je dirais sans hésitation que la priorité c’est l’amplification des opportunités.
Pour ce qui relève de la responsabilité de l’Etat, le volontarisme doit s’accompagner d’actions concrètes sur
l’orientation de la commande publique, la déréglementation des monopoles, la réforme des textes sur la concurrence, la modernisation de l’environnement des affaires et la primauté assumée de la question de l’emploi des jeunes sur les autres priorités.
Pour les très grandes entreprises et institutions, elles ont la responsabilité de générer sur leurs flancs des écosystèmes générateurs de valeurs ajoutées exponentielles pour faire éclore et grandir des start-ups.
Venons-en au jeune qui a terminé ses études. J’eclipse volontairement le sujet de l’entreprenariat sur lequel j’ai déjà fait de larges contributions.
A ce jeune, Je recommande les options suivantes :
1. Croire fermement à son étoile et entreprendre des démarches pour trouver un emploi par exemple avec des formations courtes, des stages, des demandes spontanées, du parrainage, la consultation régulières des annonces, une participation aux événements que les employeurs fréquentent, l’utilisation des réseaux sociaux professionnels, du bénévolat, une vie associative, etc. Tout sauf dormir ou attendre.
2. Se requalifier en faisant une formation sur une filière qui contient plus d’opportunités d’emplois et qui permet aussi l’auto-emploi. En exemple, les métiers autour du numérique, de la communication, des médias, du graphisme, de la formation, de l’artisanat, de la réparation, de la nutrition, de la santé, du sport, du divertissement, de la micro-logistique, etc.
3. Si au bout de 5 ans, vous avez entrepis avec acharnement ces options et que rien n’aboutit, cherchez à renaître en changeant quelque chose de fondamental en vous. Par exemple changement de region, engagement societale ou politique, ouverture spirituelle, expérimentation de la vie rurale si vous êtes urbain,… Un changement radical positif est souvent source de nouvelles opportunités.
En principe, l’un de ces trois leviers doit aboutir à la satisfaction. Mais ça marche surtout quand on a quelques-uns de ces traits de caractère : Audace, détermination, humilité, courage, résilience, hargne, patience, honnêteté, endurance, persévérance, créativité, modestie, générosité, volonté,…autant de valeurs qui servent jeunes et vieux, en toute circonstance.
Quelle politique pour l’emploi ?
Faut-il mettre la priorité sur la multiplication les formations, celle des financements ou celle des opportunités ?
Pour un(e) jeune qui aspire à l’emploi, comment doit-il(elle) s’y prendre si toutes les portes lui semblent fermées ?
Pour la première série de questions, je dirais sans hésitation que la priorité c’est l’amplification des opportunités.
Pour ce qui relève de la responsabilité de l’Etat, le volontarisme doit s’accompagner d’actions concrètes sur
l’orientation de la commande publique, la déréglementation des monopoles, la réforme des textes sur la concurrence, la modernisation de l’environnement des affaires et la primauté assumée de la question de l’emploi des jeunes sur les autres priorités.
Pour les très grandes entreprises et institutions, elles ont la responsabilité de générer sur leurs flancs des écosystèmes générateurs de valeurs ajoutées exponentielles pour faire éclore et grandir des start-ups.
Venons-en au jeune qui a terminé ses études. J’eclipse volontairement le sujet de l’entreprenariat sur lequel j’ai déjà fait de larges contributions.
A ce jeune, Je recommande les options suivantes :
1. Croire fermement à son étoile et entreprendre des démarches pour trouver un emploi par exemple avec des formations courtes, des stages, des demandes spontanées, du parrainage, la consultation régulières des annonces, une participation aux événements que les employeurs fréquentent, l’utilisation des réseaux sociaux professionnels, du bénévolat, une vie associative, etc. Tout sauf dormir ou attendre.
2. Se requalifier en faisant une formation sur une filière qui contient plus d’opportunités d’emplois et qui permet aussi l’auto-emploi. En exemple, les métiers autour du numérique, de la communication, des médias, du graphisme, de la formation, de l’artisanat, de la réparation, de la nutrition, de la santé, du sport, du divertissement, de la micro-logistique, etc.
3. Si au bout de 5 ans, vous avez entrepis avec acharnement ces options et que rien n’aboutit, cherchez à renaître en changeant quelque chose de fondamental en vous. Par exemple changement de region, engagement societale ou politique, ouverture spirituelle, expérimentation de la vie rurale si vous êtes urbain,… Un changement radical positif est souvent source de nouvelles opportunités.
En principe, l’un de ces trois leviers doit aboutir à la satisfaction. Mais ça marche surtout quand on a quelques-uns de ces traits de caractère : Audace, détermination, humilité, courage, résilience, hargne, patience, honnêteté, endurance, persévérance, créativité, modestie, générosité, volonté,…autant de valeurs qui servent jeunes et vieux, en toute circonstance.
Ibrahima Nour Eddine DIAGNE