25 Citations de Thomas Sankara

La maladie ne se guérit point en prononçant le nom du médicament, mais en prenant le médicament.
Sache que le corps grossier est pour toi ce que la maison est pour le locataire.
L’on devient ce que l’on connaît.
Je voudrais simplement dire que nous devons accepter de vivre africain. C’est la seule façon de vivre libre et de vivre digne.
La famille patriarcale fit son apparition, fondée sur la propriété unique et personnelle du père, devenu chef de famille. Au sein de cette famille, la femme était opprimée.
Tuez Sankara, des milliers de Sankara naîtront.
Ni le coran, ni la bible n’ont jamais pu réconcilier le riche et le pauvre.
Oser lutter, savoir vaincre.
Une jeunesse mobilisée est dangereuse, une jeunesse mobilisée est une puissance qui effraye même les bombes atomiques.
La Révolution démocratique et populaire a besoin d’un peuple de convaincus et non d’un peuple de vaincus, d’un peuple de convaincus et non d’un peuple de soumis qui subissent leur destin.
Nous ne pouvons laisser à nos seuls ennemis d’hier et d’aujourd’hui le monopole de la pensée, de l’imagination et de la créativité !
Un militaire sans formation politique, idéologique est un criminel en puissance.
Ceux qui nous ont prêté de l’argent, ce sont eux qui nous ont colonisés.
La patrie ou la mort, nous vaincrons.
Cela va nous coûter la vie peut être, mais nous sommes pour prendre les risques, nous sommes là pour oser et vous êtes là pour continuer la lutte coûte que coûte.
Un peuple conscient ne saurait confier la défense de sa patrie à un groupe d’hommes quelles que soient leurs compétences.
Vivre avec les masses, vaincre avec les masses !
Vivre en révolutionnaire, mourir en révolutionnaire.
La vraie émancipation de la femme, c’est celle qui responsabilise la femme.
Quand le peuple se met debout, l’impérialisme tremble.
Il faut apprendre à l’enfant à être d’abord et avant tout un être social, c’est-à-dire un homme et non un individu.
Celui qui aime son peuple aime les autres peuples.
Les grandes tragédies de l’histoire révèlent les grands hommes, mais ce sont les minables qui provoquent toujours ces tragédies.
On peut tuer un homme mais pas des idées.
Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l’eau potable pour tous.