Citation
Il te restera toujours tes rêves pour réinventer le monde que l’on t’a confisqué.
Yasmina Khadra
Situation
Bambey Sénégal
Bambey est une ville du Sénégal située dans la région de Diourbel, sur la voie ferrée qui mène de Dakar à Tambacounda
Histoire de bambey
Bambey est situé dans l’ancien royaume du Baol.Les premiers habitants étaient des Sérères.C’est au xviie siècle que les premières habitations auraient été construites.C’est à Bambey qu’est aménagée la première base aérienne de l’AOF, à proximité de la ligne de chemin de fer Thiès-Kayes.Le 13 juin 1911 le premier avion – construit par Henry Farman – survole la région et sidère ses habitants.Commune mixte en 1926, Bambey devient une commune de plein exercice en 1956.
Administration de bambey
La ville est le chef-lieu du département de Bambey. De 2002 à 2009 le maire de la ville était l’ancien ministre Pape Diouf qui a dirigé la campagne d’Idrissa Seck lors de l’élection présidentielle de 2007. Une autre ministre, Aïda Mbodj, lui a succédé en mars 2009.
Géographie de bambey
Situé dans le centre-ouest du pays, Bambey bénéficie d’un climat tropical, plutôt sec, avec une saison sèche qui va de novembre à mai, et une saison des pluies qui va de juin à octobre.Bambey est situé à la frontière entre le Sahel et l’Afrique purement tropicale, même si le climat devient de plus en plus sec. Aux alentours de Bambey on cultive le mil et l’arachide. La ville est située dans l’ancien bassin arachidier, mais on y trouve également quelques pasteurs. La végétation est assez fournie, avec de nombreux baobabs. Pendant la saison des pluies la verdure est très marquée
Population de bambey
Les habitants sont pour la plupart des Sérères, des Wolofs et une ethnie poular. Mais on trouve aussi des habitants appartenant à d’autres ethnies : Toucouleurs, Sarakholés, Peuls entre autres.
Source: Wikipédia
Éducation
La guerre de kippour ou guerre israélo-arabe
La guerre du Kippour ou guerre israélo-arabe de 1973 opposa, du 6 octobre au 24 octobre 1973, Israël à une coalition menée par l’Égypte et la Syrie.
Le jour du jeûne de Yom Kippour, férié en Israël, qui coïncidait en 1973 avec la période du ramadan, les Égyptiens et les Syriens attaquèrent par surprise simultanément dans la péninsule du Sinaï et sur le plateau du Golan, territoires respectivement égyptien et syrien occupés par Israël depuis la guerre des Six Jours. Profitant d’une supériorité numérique écrasante, les armées égyptiennes et syriennes avancèrent durant 24 à 48 heures, le temps qu’Israël achemine des renforts. Même si les attaquants bénéficiaient toujours d’une large supériorité numérique, l’armée israélienne put alors les arrêter. En une semaine, Israël retrouva son potentiel militaire et lança des contre-offensives qui lui permirent de pénétrer profondément en Syrie et de traverser le canal de Suez pour progresser au sud et à l’ouest en Égypte lorsque le Conseil de sécurité des Nations unies, en coopération avec les deux superpuissances russe et américaine, par l’intermédiaire du Royaume-Uni, demanda un cessez-le-feu pour laisser place aux négociations. Alors que les armées israélienne et égyptienne se regroupaient, les combats reprirent sur les fronts syriens et égyptiens après l’heure du cessez-le-feu sur initiative israélienne. Sans en référer à l’état-major, les officiers de terrain israéliens se servirent de cette rupture du cessez-le-feu pour encercler l’adversaire. L’incapacité des services secrets israéliens à anticiper l’attaque imminente suscita un séisme politique majeur, et notamment la démission de la Première ministre Golda Meir.
Situation des belligérants avant la guerre
Plusieurs guerres avaient déjà eu lieu entre Israël et les pays arabes du Moyen-Orient depuis le plan de partage de la Palestine et la Déclaration d’Indépendance de l’État hébreu par David Ben Gourion en 1948. À l’issue de la guerre de 1967, Israël avait conquis des territoires importants à ses voisins et construit des fortifications sur le Golan et dans le Sinaï afin de se protéger militairement des attaques ponctuelles qui survenaient sur les nouvelles frontières : les années 1967-1970 constituent en effet une période de guerre larvée entre l’État juif et ses voisins égyptien et syrien.Notamment, 500 millions de dollars avaient été dépensés en 1971 dans la construction de la ligne Bar-Lev le long de la rive orientale du canal de Suez. Cependant, après la mort du président égyptien Gamal Abdel Nasser en septembre 1970, son successeur Anouar el-Sadate, bien que plus modéré, décida de restaurer la souveraineté de l’Égypte sur l’ensemble de son territoire.À la suite de la proposition de l’intermédiaire onusien Gunnar Jarring, Sadate se déclara « prêt à négocier un traité de paix avec Israël » contre un engagement israélien à appliquer la résolution 242 (1967) des Nations unies. Mais les dirigeants israéliens, méfiants, firent prévaloir la sécurité militaire que leur assurait le contrôle du Sinaï. Aussi, certains analystes[Lesquels ?] expliquèrent qu’après 3 ans de pouvoir, la situation économique désastreuse de l’Égypte obligeait Sadate à prendre des mesures impopulaires et qu’une opération militaire victorieuse contre Israël, même mineure, s’imposait donc comme une bonne option pour lui rendre une certaine popularité auprès de son peuple miné par l’humiliation de 1967.
L’escalade vers la guerre
À partir de 1972, Sadate annonce ouvertement que son pays est prêt à partir en guerre contre Israël, quitte à « sacrifier un million de soldats ». Son armée est renforcée par l’apport soviétique de Mig-21, missiles sol-air SA-6, de tanks T-62, de roquettes antichars RPG-7 et de missiles guidés anti-tanks AT-3 Sagger. Sur le plan stratégique, les généraux vaincus lors de la déroute de 1967 sont remplacés. Les leçons de la précédente guerre sur le plan de l’armement amenèrent Sadate à menacer l’URSS de se tourner vers les Américains si l’Égypte ne recevait pas d’armes à la pointe de la technologie. Les Soviétiques sont donc contraints d’équiper l’Égypte pour la rendre capable de concurrencer Israël, elle-même équipée par l’industrie militaire américaine.
Conséquences à long terme de la guerre
Crise politique en Israël
En Israël, cette guerre a constitué un véritable électrochoc. De nombreux mythes de la société israélienne se sont effondrés : invincibilité de l’armée, infaillibilité des services de renseignement. La population israélienne n’avait jamais connu jusqu’alors de crise morale aussi grave. Il fallut attendre le marasme du conflit libanais, l’Intifada puis l’assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin pour assister à une remise en cause d’une telle importance. L’image de marque d’Israël s’est en outre dégradée à travers le monde, renforçant un peu plus l’isolement diplomatique de l’État hébreu. Ses relations privilégiées avec l’allié américain ont connu de réels soubresauts. Quatre mois après la fin de la guerre, des protestations de colère ont commencé à s’élever contre le gouvernement israélien et contre Dayan en particulier. Une enquête sur les événements des premiers jours de la guerre et ceux l’ayant précédée fut demandée : la commission Shimon Agranat.Les résultats furent publiés le 2 avril 1974 et désignèrent six personnes ayant des responsabilités dans les erreurs ayant fragilisé Israël
Un conflit riche en enseignements militaires
La guerre du Kippour apparaît en définitive comme un conflit plus équilibré et plus disputé que l’image qui en a souvent été présentée. Le rapport des forces en présence s’est avéré moins déséquilibré que ce que les autorités arabes et israéliennes ont longtemps laissé entendre. L’impact réel de l’aide matérielle fournie par les deux grandes puissances à leurs alliés respectifs ne fut pas aussi décisif que ce que les Américains et les Soviétiques ont longtemps prétendu.
Accords de Camp David
Le gouvernement Rabin, mis en difficulté par des scandales, fut obligé de provoquer des élections anticipées en 1977. Le parti du Likoud remporta alors ces élections et forma un gouvernement avec pour premier ministre Menahem Begin. Sadate, qui était entré en guerre pour récupérer le Sinaï, était contrarié par le rythme lent des négociations de paix. En novembre 1977, il fit un pas inattendu en faisant un voyage officiel en Israël, devenant ainsi le premier leader arabe à reconnaître de facto l’existence d’Israël. Ce geste eut l’effet d’accélérer le processus de paix. Le président américain Jimmy Carter invita alors ensemble Sadate et Begin à un sommet à Camp David pour négocier une paix définitive. Les discussions se déroulèrent du 5 au 17 septembre 1978 et aboutirent au traité de paix israélo-égyptien de 1979. Israël retira ses troupes et ses implantations de toute la péninsule du Sinaï en échange de relations normales avec l’Égypte et d’une paix durable.Beaucoup dans la communauté arabe furent scandalisés par ce traité de paix signé par l’Égypte avec Israël. L’Égypte fut exclue de la Ligue arabe. Deux ans plus tard, Sadate fut assassiné le 6 octobre 1981 alors qu’il assistait à un défilé commémorant le huitième anniversaire du début de la guerre. Ses assassins étaient des éléments de l’Armée qui désapprouvaient les négociations qu’il avait menées avec Israël.
Source: Wikipédia
Ramadan
Hadith Qudsi (sur Hiisni) « Regardez Mon serviteur, il appelle à la prière puis l’accomplit »
D’après Uqbah ibn Amir (رضي الله عنه) : J’ai entendu le Messager d’Allah ﷺ dire :
Votre Seigneur est enchanté par un berger qui, du sommet d’une montagne escarpée, fait l’appel à la prière et prie. Alors Allah (glorifié et exalté) dit : « Regardez Mon serviteur, il appelle à la prière puis l’accomplit. Il me craint. Certes, J’ai pardonné à Mon serviteur [ses péchés] et Je l’ai admis au Paradis. [An-Nasa’i, authentifié par sheikh al Albani]
Chez nous le Réseau Scolaire, le savoir n’a point de barrière. À demain pour un autre numéro.